Introduction à la composition
par Alain Briot
Illustration: Trees in fall Colors
La photographie est plus qu’un médium pour une communication factuelle des idées, c’est un art de créativité
Ansel Adams
Cet essai est une introduction à une nouvelle série d’essais mettant l’emphase sur la composition. Au moment d’écrire ces lignes, cette série comprendra 8 essais :
1- Introduction à la composition (l’article que vous lisez)
2- Les règles traditionnelles de la composition
3- Les règles non traditionnelles de la composition
4- Composer avec la couleur
5- Composer en noir et blanc
6- L’importance des bordures des images
7- L’importance de connaître la localisation de vos photographiques
La composition est un sujet très vaste. Malheureusement, on a trop souvent tendance à se limiter à ce qu’on décrit comme étant les règles de composition. Il est certain que les règles sont importantes. Par contre, restreindre l’ensemble du sujet à un ensemble de règles crée des limites à ce qu’est la composition. C’est aussi limiter comment les photographes perçoivent le domaine de la composition, qu’ils soient débutants ou expérimentés.
Pour cette raison, j’aime mieux parler du champ de composition plutôt que de la composition. Le terme champ implique qu’il y a de multiples dimensions au sujet et que, implicitement, la composition n’est pas uniquement limitée à un ensemble de règles.
La composition c’est beaucoup plus qu’un ensemble de règles. La composition c’est comment chaque photographe utilise la lumière, la couleur, le contraste. C’est comment chaque photographe voit le monde et comment il veut présenter ce monde à son public. En résumé, la composition – quand elle est approchée sous une perspective individuelle- est votre vision du monde. C’est une façon de partager ce que vous voyez avec votre public, ceux et celles qui vont regarder, étudier et admirer (ou critiquer) votre travail.
L’Art, les faits et la photographie de paysage
L’artiste n’est rien s’il n’a pas un don, mais le don n’est rien sans le travail.
Émile Zola
En écrivant cette série d’essais, j’approche la photographie comme une forme d’art. De par ce fait, ces essais sont écrits pour des gens qui désirent pratiquer la photographie comme un art et qui se considèrent soit des artistes, soit des personnes désirant devenir des artistes.
Cette déclaration est importante puisque la photographie, comme tout médium de communication et de représentation, est nécessaire comme forme d’art. Ce qui fait qu’un médium devient une forme d’art n’est pas le médium par lui-même mais l’intention du praticien qui l’utilise. La peinture, la musique, la sculpture ou tout autre médium ne sont pas, à priori, imprégnés de l’habileté de créer de l’art. Tout médium peut avoir plus d’un usage. Ce qui fait que certaines choses deviennent des œuvres artistiques est l’intention de celui qui crée et non le médium employé.
La photographie peut avoir plusieurs utilités. Elle peut servir à documenter certains événements ou certaines scènes. Elle peut être utilisée pour créer des documents visuels pour des études futures ou des recherches. Elle peut servir comme preuve médico-légale. Des photographies peuvent être utilisées sur des passeports, des cartes d’identifications et d’autres activités administratives. La photographie peut servir à documenter des articles d’actualité. Les photos peuvent servir comme archives, pour des assurances, comme souvenirs et pour beaucoup d’autres utilités.
La majorité de ces usages ne peut être considérée comme étant de l’art. Pourquoi ? Parce que le photographe n’avait pas l’intention d’exprimer une réponse émotionnelle de son sujet. Au lieu de cela, son objectif était d’enregistrer un endroit, un événement, une personne ou un objet.
L’art n’est pas concerné par L’enregistrement. L’art est intéressé par l’expression de sentiments, les sensations et les opinions. L’enregistrement est factuel, son emphase est de capter la réalité et d’enregistrer les choses telles qu’elles sont. L’art n’est pas factuel et se concentre sur l’interprétation de la réalité et non ce qu’elle est.
L’enregistrement des choses est une nécessité. Nous devons avoir des photos de passeport. Nous devons avoir des documents visuels pour la recherche, pour les analyses médico-légales, pour les reportages d’actualité et pour beaucoup d’autres usages. Nous devons avoir des images de nous et de ce que nos possédons, que ce ne soit que pour documentation légale.
L’art n’est pas une nécessité. L’art est quelque chose que l’on veut et non quelque chose dont on a besoin. Les artistes créent des œuvres artistiques parce qu’ils le veulent et non parce qu’ils le doivent. Chacun de nous peut vivre sans créer ou collectionner des œuvres d’art. On peut soutenir que nos vies seraient moins plaisantes et auraient moins de sens sans art mais nous ne péririons pas de la même façon si nous n’avions ni manger, ni vêtements ou logis.
Ces deux approches différentes, factuelle et artistique, mènent à deux différentes approches en photographie. Alors que la représentation factuelle est concernée par la documentation des faits, la représentation artistique concerne l’expression des émotions. Le processus photographique dont l’objectif est de documenter les faits est complètement différent du processus d’expression des émotions.
Lorsque l’on est intéressé par les faits, on doit faire attention à ne pas distortionner la réalité pour ne pas modifier les faits. La valeur de la photographie factuelle dépend de la précision avec laquelle la scène, l’objet, les personnes ou les événements sont représentés dans l’image. Une photographie factuelle traite du sujet de la photographie et non de la personne qui a pris la photo. Comme tel, la personne qui capte l’image doit faire attention de ne pas laisser ses émotions influencer les faits. D’une certaine façon, le photographe factuel doit s’effacer derrière le processus de façon à être invisible au spectateur. On ne doit pas ressentir sa présence ou sa personnalité lorsque l’on regarde la photographie.
Lorsqu’on s’intéresse à capturer les émotions, on doit être certain de tenir compte de ses sentiments sur la scène, l’objet, la personne ou l’événement à photographier. Une photo artistique est la réaction du photographe au sujet. Le photographe qui prend la photo est à l’avant plan alors que le sujet est second. Dans les faits, plus le photographe prend le virage artistique, plus la photographie devient une image du photographe et moins du sujet photographié. La personnalité du photographe doit être présente dans l’image pour qu’une photographie ait une valeur artistique.
Les différences entre la composition factuelle et la photographie artistique
Ce que je recherche n’est pas le réel ou l’irréel mais l’inconscient. Le mystère de l’instinctif dans la race humaine
Amadéo Modigliani
La composition d’une photographie factuelle est entièrement différente de la composition d’une photo artistique. Les techniques utilisées et la façon de voir du photographe doivent être différentes. Un photographe factuel est intéressé à montrer le sujet d’une manière réaliste. Par le fait même, voir les détails du sujet est très important. Par exemple, dans un portrait fait pour l’immigration américaine, voir l’oreille droite du sujet est important. De la même façon, des photographies prises pour enregistrer des scènes, des événements ou des objets doivent être assez précises pour que le sujet photographié soit clairement visible.
Souvent, les photographies factuelles sont prises au flash lorsque la lumière ambiante est insuffisante. Ceci est fait pour s’assurer que la lumière sera identique partout et que le sujet ne bougera pas durant l’exposition. L’objectif n’est pas d’avoir la plus plaisante des lumières mais d’avoir suffisamment d’éclairage pour obtenir une photographie net et le sujet clairement visible. De plus, on utilisera la même qualité de lumière pour toutes les photographies pour assurer un certain niveau de consistance. Finalement, les couleurs seront balancées de façon à s’approcher, le plus possible, des couleurs réelles.
La composition des photographies factuelles est également préoccupée à montrer le sujet en entier ou la partie du sujet qui est d’intérêt. L’objectif n’est pas de dramatiser la position du sujet dans le cadre, de mettre l’emphase sur un aspect ou un autre du sujet ou encore d’utiliser les règles de composition dont le but est de stimuler la créativité du photographe. Le but n’est pas de faire des photos créatives. Le but est de prendre une photographie précise, une photographie qui peut servir de preuve au public visé.
La photographie artistique, par contre, est rarement préoccupée par le sujet en entier. À la place, elle compte souvent sur le fait que moins est mieux et, suivant ce credo, l’artiste vise à éliminer tous les éléments qui ne contribuent pas à rendre l’image plus forte. Selon cette règle, certains éléments importants peuvent être rognés de façon à ne voir que certaines parties de ces éléments dans l’image. Or, certains éléments qui seraient absolument nécessaire dans une image factuelle peuvent être entièrement disparus, la raison étant que l’absence de ces éléments rend cette image plus forte ou plus intrigante.
De la même façon, la lumière est utilisée de façon créative dans la photo artistique. Alors que certains artistes préfèrent une lumière plus douce ou un éclairage égal, d’autres préfèreront un éclairage plus dramatique comme le contre-jour (backlight), ou clair-obscur (un éclairage mettant l’emphase sur le contraste entre les paries claires et foncées d’une scène). Certains artistes peuvent utiliser les deux types d’éclairage alternativement dépendant de leur humeur ou de l’effet qu’ils veulent produire.
Aucun de ces types d’éclairage n’est propre à révéler les détails essentiels d’une scène de façon réaliste. Alors que le premier réduit le contraste, l’autre l’augmente. Aucun n’est préoccupé par la vérité quelle qu’elle soit. Par contre, les artistes utilisant l’un ou l’autre des types d’éclairage sont préoccupés par leur émotion devant une scène particulière. Leur but est d’utiliser la lumière comme moyen de faire partager leur émotion face au sujet avec leur public.
L’artiste est concerné par les aspects de la composition qui ont très peu d’intérêts pour l’enregistreur factuel ou, devrais-je dire, le scientifique. Ce dernier est préoccupé de montrer le sujet objectivement et précisément, et se demande si la photographie est une représentation fidèle du sujet.
Par contre, l’artiste se pose des questions d’un tout autre ordre d’idée. Par exemple, l’artiste peut se demander si les éléments présents dans la photographie sont en accord ou non avec leur forme artistique. Or l’artiste peut se préoccuper du rapport entre l’espace positive et l’espace négative. Ou encore, peut se demander s’il a atteint l’unité ou si l’image est débalancée.
Comme vous pouvez le voir, les motivations de l’enregistreur factuel et de l’artiste sont tout à fait opposées même s’ils utilisent le même médium. Ils utilisent tous les deux la photographie pour capturer le sujet qui les intéresse. IL n’est donc pas surprenant que plusieurs praticiens, quelque soit leur niveau et leur implication, se demandent si la photographie est un art ou non. La réponse est que la photographie peut être les deux : elle peut être de l’art ou la représentation factuelle d’un enregistrement visuel. Cela dépend de la façon dont elle est employée. Tout dépend de l’intention et de l’objectif du photographe.
Dans cette série d’essais, nous allons étudier comment créer des compositions artistiques. Ceci ne veut pas dire qu’il ne faut pas étudier la composition factuelle. C’est simplement que notre focus sera sur la composition d’images expressives, des images dont l’objet est de partager avec le public notre réponse émotionnelle au sujet. Comme nous allons le voir, l’atteinte de ce but est un processus à différents niveaux, un processus qui débute par l’analyse des différences entre ce qu’on voit et ce que la caméra peut capter, un processus qui continue à travers l’étude des différentes approches de la composition et qui culmine dans le développement d’un style personnel.
Dans mes essais précédents, nous avons déjà touché la différence entre ce que l’on voit et ce que la caméra voit et nous avons exploré le processus à travers lequel l’inspiration nous conduit à la créativité, une vision et éventuellement à un style qui nous est propre. Ce qu’il nous reste à découvrir est comment la composition peut nous permettre d’exprimer notre créativité et notre propre style. Ceci est l’objectif de cette série d’essais.
La photographie n'est pas morte.
Le jardin des Dieux, Grand escalier Escalante, Utah
Quand j’ai terminé une peinture, je pose un objet fait de Dieu à son côté – une pierre, la branche d’un arbre ou ma main- comme test final. Si la peinture se tient face à quelque chose que l’homme ne peut pas faire, la peinture est authentique. S’il y a quelque chose qui cloche, c’est du mauvais art.
Marc Chagall
Le point a été fait dans des articles de magazines, dans des forums en ligne et d’autres endroits : la photographie est morte. Pour ma part, mon sourcil ce soulève à chaque fois qu’une telle déclaration est faites sur quelque soit le domaine d’activité humaine. IL est certain qu’une telle déclaration suscite de l’intérêt des lecteurs. Toutefois, de telles déclarations sont souvent plus provocatrices que sérieuses.
Dans ce cas, on fait souvent la constatation que la photographie digitale, parce qu’elle a automatisé plusieurs aspects, a tué la photographie parce que tout le monde peut créer une bonne image. Tout ce qu’il faut pour créer une belle photographie, à ce qu’on dit, est de posséder une bonne caméra et la connaissance de logiciels de traitement d’image tels que photoshop. Le « hardware » et les logiciels feront le travail, plaçant le talent et les années d’études au rencart et les étiquetant de passé et de non nécessaire.
Dans le passé, continue l’argumentation, les artistes devaient étudier, travailler fort et utiliser leur talent pour exprimer leurs émotions à travers l’art. Aujourd’hui, ils n’ont qu’à se procurer une caméra digitale et photoshop. Les temps ont changé. Le vieux est dépassé par le nouveau. IL faut juste s’habituer à la situation.
Ainsi va la croyance, parce que c’est une croyance et rien d’autre. L’automatisation ne remplace pas le talent, le labeur et les études. L’automatisation veut dire simplement que certaines tâches qui devaient se faire manuellement sont maintenant automatisées.
Quelles sont ces tâches ? Faire son foyer par exemple. C’est à peine un effort créatif ou un défi sauf si on veut une mise au point sélective ou si on veut une profondeur de champ maximale, deux domaines où le « hardware » ne peut faire la tâche automatiquement et où le praticien doit intervenir, faire des choix et prendre des décisions.
L’exposition est un autre exemple. Le photographe doit intervenir manuellement si un type particulier d’exposition est nécessaire, un type qui diffère de la lecture de la caméra.
La balance de couleur est encore un autre exemple. Le photographe doit choisir manuellement la balance des couleurs lorsque celle de caméra n’est pas plaisante, souvent lors de la conversion en raw ou le post-traitement de l’image.
Enfin, le contrôle du contraste. Lorsqu’un type particulier de contraste est souhaité ou lorsque le contraste de certains endroits doit être contrôlé individuellement, le photographe intervient.
La liste continue et continue. Ce qui demeure constant est le pattern qui émerge de la liste : La caméra et le logiciel. Le photographe doit pouvoir intervenir lorsque ce choix n’est pas satisfaisant. En d’autres mots, le photographe doit faire des choix et prendre des décisions.
Et sur quelles bases sont faites ces choix et ces décisions? Sur la base du talent, des études et du travail. Seuls ces trois facteurs vont nous permettre d’acquérir l’expérience nécessaire pour faire ces chois difficiles que le hardware et les logiciels seuls ne peuvent pas faire. Pourquoi ne peuvent-elles pas le faire ? Parce que ces choix nécessitent une réflexion et parce que, par-dessus tout, elles requièrent des décisions artistiques, décisions qui ne peuvent être programmées même si le hardware et le software ont ou auront l’habileté de « penser ».
Les décisions que le photographe doit faire sont des décisions axées sur la base des émotions et des impressions. Ces décisions servent à exprimer notre réponse émotionnelle à une scène, notre perception du sujet que nous voulons photographier et notre approche artistique personnelle. Ceci représente des choix personnels, des choix dont nous ne sommes pas conscients jusqu’au moment où nous retrouvons dans le moment de capter un sujet spécifique avec un objectif et une caméra. Pour cette raison, ce processus ne permet pas aux designers de caméras et de logiciels de les programmer pour exprimer automatiquement notre réaction au sujet. Ils ne peuvent pas le programmer plus que nous parce que nous ignorons quelle sera cette réaction.
Alors, où vais-je avec cette explication ? Ce que j’essaie de démontrer est que, quelque soit l’avancement ou l’automatisation de l’équipement photographique et des logiciels, il ne peut y avoir de substitut pour l’input individuel et l’expression personnelle.
Ce que j’essaie également de démontrer est que le champ de travail où cet individu s’exprime le mieux est le champ de la composition. Pourquoi ? Premièrement parce que la composition est un choix personnel : très peu, s’Il y en a, peuvent automatiser le champ de composition. Deuxièmement, parce que la composition est un champ d’accomplissement composé de plusieurs facettes et non seulement d’une série de règles.
Si ce n’était qu’une série de règles, il serait possible, théoriquement du moins, de pense que ces règles pourraient être incorporées dans une caméra ou un logiciel et que ce logiciel pourrait avoir l’habileté de composer des photographies selon ces règles ou de nous donner des directions pour nous aider à composer nos images d’une certaine façon.
Par exemple, la règle des tiers pourrait être incorporée d’une façon telle que la caméra pourrait nos dire quant l’image est divisée en trois parties également réparties. Ou, avec l’aide d’un logiciel de contrôle, des têtes mécaniques à trois faces opérées par un moteur, la caméra pourrait, il est concevable, trouver cette composition par elle-même, rendant le photographe un pu moins qu’un observateur passif de cette technologie. Dans un tel scénario, même s’il paraît un peu en avant de son temps mais qui pourrait devenir réalité dans peu de temps, les choix du photographe seraient limités au départ par l’achat de l’équipement et ensuite à trouver l’endroit où poser sa caméra.
Mais si cette caméra existait, pourrait-elle exprimer les sentiments intérieurs du photographe ? Serait-elle capable de reconnaître la réponse émotionnelle du photographe face à ce qu’il photographie ? Est-ce que cet équipement serait capable d’inclure, au moment capté par la caméra et plus tard l’impression faites par le photographe, la complexité des émotions et toutes les possibilités de voir cette scène ?
Levé du soleil, Plateau du Colorado, Sud de l’Utah
Et si cela existait et si c’était rendu accessible pour que le facteur limitatif serait le prix plutôt que l’accessibilité, les images créées ne seraient-elles pas représentatives des designers du système et des ingénieurs qui l’ont créé plutôt que la vision du photographe ? Et le photographe serait-il autre chose qu’une mule, un porteur de matériel dont le but serait d’exprimer la vision du monde de celui qui a fabriqué ce matériel plutôt que la vision individuelle du photographe ? De cette façon, est-ce que le propriétaire de ce matériel serait celui qui mène plus loin la cause de l’appareil qu’Il utilise plutôt que sa propre cause en exprimant la vision du manufacturier plutôt que la sienne ?
Ma réponse à ces questions est « bien sûr » et ma solution a été d’écrire la série d’essais qui commence par celui-ci et continuera avec les 7 suivants. À travers ces essais, et autres aspects du champ de la composition, je veux partager ma croyance que la composition ne peut pas être automatisée parce qu'elle est un moyen au travers duquel un individu exprime sa vision du monde.
J’ai déjà exploré le champ de vision et le style personnel dans mes essais précédents. IL est maintenant temps d’explorer comment cette vision peut être implantée dans la composition d’images spécifiques. C’est ce que je vais faire dans le prochain essai : les règles traditionnelles de la composition. D’ici là, cette série est à suivre.
Traduction en langue française par Jacques Legault, Nikonian au Canada, pour Nikonians.org/fr
Cette traduction est soumise au copyright. Avant tout usage l'accord écrit préalable de son traducteur et de Nikonians.org/fr est requis.
Créé le Juillet 29, 2011
Dernière modification le Juin 3, 2014
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